Depuis son inscription l’an dernier sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO, le « modrotisk » ou « Blaudruck » connaît un regain d’intérêt, notamment auprès des touristes. C’est en tout cas le constat fait par les deux derniers ateliers pratiquant encore cet artisanat qui remonte au XVIIIe siècle. L’atelier d’Olešnice en Moravie, notamment, est tout particulèrement prisé des touristes japonais, particulièrement attirés par le patrimoine inscrit à l’UNESCO.
Le Blaudruck, ou « modrotisk » en tchèque, est une technique ancestrale d’impression sur étoffes indigo, commune à la Tchéquie, la Slovaquie, l’Autriche, l’Allemagne et la Hongrie.
« In bed with Maradona en Biélorussie » ou l’histoire de Marcel Lička, l’entraîneur tchèque champion au pays de Loukachenko avec l’ancien club de Diego
Au Sénégal, le succès des aéroports modulaires tchèques « qui sont comme des lego »
L’écrivain Milan Kundera est enfin devenu citoyen tchèque
La poésie de Karel Kryl célébrée par la jeunesse
Foot - Ligue des champions : le Slavia accueille l’Inter Milan