Lettres, lettres, lettres

Commençons par un voeu du Nouvel An assez inhabituel, signé Yssa Sanogo de Sikasso, au Mali. Je dis inhabituel, parce que, à la place d'une image d'hiver, d'un paysage romantique, couvert de neige, par exemple, on voit au verso de cette carte postale les membres d'une tribu africaine, en magnifiques costumes traditionnels. Derrière eux, du sable, du soleil et de la végétation africaine. Merci, M. Sanogo pour votre message de sympathie, adressé, au seuil de la nouvelle année, à la rédaction française de Radio Prague, ainsi qu'à tous les auditeurs.

Commençons par un voeu du Nouvel An assez inhabituel, signé Yssa Sanogo de Sikasso, au Mali. Je dis inhabituel, parce que, à la place d'une image d'hiver, d'un paysage romantique, couvert de neige, par exemple, on voit au verso de cette carte postale les membres d'une tribu africaine, en magnifiques costumes traditionnels. Derrière eux, du sable, du soleil et de la végétation africaine. Merci, M. Sanogo pour votre message de sympathie, adressé, au seuil de la nouvelle année, à la rédaction française de Radio Prague, ainsi qu'à tous les auditeurs.

Vous êtes, effectivement, très nombreux à nous adresser vos voeux du Nouvel An : merci à Patrick Blot de Marseille qui nous a envoyé, curieusement une vue de Paris. Et pourtant, M. Blot votre ville est tellement belle. J'ai eu l'occasion de la visiter, en octobre dernier, et j'étais totalement séduite par son charme particulier : par le Vieux-Port, le quartier du Panier, par ses marchés, son climat et ses parfums.

"Toujours fidèle à l'écoute de votre radio depuis sept ans déjà", nous écrit Marc Sangnier de Villeurbane, en France. Son voeu pour l'année 2004 ? ... "Que les ondes courtes durent longtemps". Merci également à nos auditeurs français Lucien Barthélémy de Mauriac, à Félicien Roux d'Allanche, et à Jacques Induni de Chaligny. Grâce à la photo sur sa carte de voeux, j'ai pu me promener, de nouveau, au centre de Nancy, sur la place Stanislas...

"Voici mon premier rapport d'écoute pour 2004", écrit Christian Ghibaudo de Tende, en France. Et il continue : "Sur le site web j'ai pu voir les nouvelles QSL, une fois de plus, elles sont très attractives. Vos émissions sont toujours aussi intéressantes. Mes préférées restent Page d'histoire, Rencontres littéraires, sans oublier le Courrier des auditeurs. Et depuis ces dernières semaines, l'initiation à la langue tchèque était très intéressante et très conviviale. Rien que le nom est sympa !" La question que nous pose, cette fois-ci, M. Ghibaudo, est d'ordre pratique. "Dans quelques semaines, votre pays va rejoindre l'Union européenne. Quels seront les documents nécessaires pour se rendre en Tchéquie ? Les Français auront-ils toujours besoin d'un passeport et vice-versa ?" Bonne nouvelle, M. Ghibaudo, d'après le centre d'information tchèque Euroscop, les Tchèques ainsi que les Français n'auraient besoin que d'une carte d'identité pour voyager. Je voudrais encore vous signaler que RP diffusera des émissions spéciales, cosacrées à l'élargissement de l'Europe, à partir du mois de février.

Toute notre rédaction se réjouit du fait que l'émission Le Tchèque du bout de la langue de Guillaume Narguet suscite autant d'intérêt chez vous, chers amis. "Le Tchèque du bout de la langue, c'est plaisant, mais je ne suis pas doué. Tant pis !", nous a écrit Renée Durand d'Orvault, en France. Quant à Karin Kamara de Riyad, en Arabie Saoudite, elle fait des progrès en tchèque : elle nous salue tout à fait correctement : "Dobry den, Radio Praha" - Bonjour, Radio Prague, pour glisser, à la fin de sa lettre, dans le registre familier, voire populaire, avec la salutation "cau". Moi, j'ajoute : bravo ! Et merci, Karine Kamara, pour cette photo de jeunes autruches de six mois. C'est vous qui l'avez prise ?

J'était triste d'apprendre que notre fidèle auditeur Renée Pigeard du Radio Club du Perche n'était pas vraiment content de l'introduction de cette nouvelle rubrique dans notre programme de samedi. Il trouve le temps, réservé au Courrier des auditeurs, trop court.

A la fin de cette émission, le courrier de Kais Barhoumi de Tunisie. C'est un accro à la musique, et il nous demande de répéter le nom du compositeur tchèque qui était à l'affiche d'Un peu de musique quand même du 16 décembre dernier. Ce jour-là, mon collègue Vaclav Richter a dressé le portrait du compositeur Frantisek Xaver Brixi. Il a vécu au 18e siècle et a composé essentiellement de la musique d'église. Voici un extrait de son oeuvre.

Auteur: Magdalena Segertová
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